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Interprètes en cabine mobile
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Babel Bruegel
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Diaporama-Un traducteur_en_cabine
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  • News and insights

  • Traduction écrite – Rédaction
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      Afin de pouvoir répondre aux besoins de nos clients en matière de communication écrite en amont et en aval d’une rencontre internationale dans le cadre de la prise en charge globale de ses problématiques multilingues, nous disposons d’un petit noyau de traducteurs – rédacteurs dans une quarantaine de langues.

      La traduction écrite reste toutefois une activité annexe et complémentaire à notre cœur de métier, au même titre que la logistique événementielle et les prestations de tourisme d’affaires.

      Contrairement aux interprètes qui travaillent pour la plupart en cabines bidirectionnelles, les traducteurs travaillent dans la majorité des cas exclusivement vers leur langue maternelle ou bien en binôme avec un correcteur natif qui relit leurs travaux. L’origine linguistique n’est en aucun cas suffisante pour garantir la qualité du rendu dans la langue cible. Une parfaite compréhension de la langue source est essentielle en amont. Par ailleurs, il ne suffit pas d’être « natif » pour avoir les compétences rédactionnelles qu’on attend d’un bon traducteur. Savoir rédiger dans sa propre langue n’est pas à la portée de tous.

      Nos collaborateurs sont triés sur le volet. Pour une lecture fluide, leur tâche exige des qualités de rédacteur dans la langue cible qui incluent, outre une orthographe et une syntaxe irréprochables, une grande précision terminologique et une parfaite maîtrise du style, y compris de la ponctuation, ainsi que de la rigueur dans le respect des règles typographiques propres à chaque pays, de même que la maîtrise des différents outils informatiques bien sûr.

      On parle de traduction – adaptation – localisation ; la localisation est tout le processus d’adaptation d’un contenu à une région du monde donnée qui comprend, au-delà de la simple traduction linéaire, l’adaptation aux normes, à la culture et aux attentes spécifiques du lecteur cible (comme par exemple l’adaptation des unités de mesure du système métrique au système impérial et vice versa).

      On distingue le traducteur technique du traducteur scientifique, du traducteur littéraire et du traducteur juridique. Chacune de ces quatre grandes familles de traducteurs est subdivisée en de multiples sous-catégories selon un maillage plus fin correspondant à une typologie de documents, des contenus thématiques et des champs de connaissance spécifiques. Pour chaque projet, nous nous engageons à confier les travaux qui nous sont demandés au(x) collaborateur(s) le(s) plus compétent(s) en fonction du sujet traité et du type de document.

      Des logiciels informatiques professionnels d’assistance à la traduction permettent de mener à bien un projet dans les meilleures conditions possibles, de gagner en rapidité et en fiabilité. Ils offrent la possibilité de créer et de standardiser des glossaires terminologiques thématiques, d’identifier des segments identiques récurrents au sein d’un même texte ou de plusieurs documents présentant des similitudes, et de mettre en place une mémoire de traduction qui s’enrichit au fur et à mesure des travaux effectués pour un même client et permet de ré-exploiter les traductions existantes. L’utilisation de ces outils génère un gain de temps appréciable et une réduction des coûts en conséquence. Outre ces aspects économiques non négligeables, ces solutions technologiques présentent l’avantage qualitatif de permettre une harmonisation des formulations et une plus grande cohérence terminologique, particulièrement importante dans la documentation technique (l’usage intempestif de synonymes pouvant créer la confusion), les actes juridiques, les bilans financiers et les protocoles scientifiques. Ce qui est vrai pour ce type de productions l’est beaucoup moins en revanche – et cela va sans dire – pour la traduction littéraire, éditoriale ou publicitaire. Ces logiciels de TAO présentent néanmoins l’avantage de prendre en charge des fichiers de multiples formats : Microsoft Office (Word, Excel, PowerPoint, etc.), Adobe FrameMaker, Adobe InDesign, Adobe PageMaker, QuarkXPress, Html, XML…

      A compter de 450 mots, les prestations de traduction sont généralement facturées au mot source, à l’exception des documents rédigés en langues asiatiques comme le chinois ou le japonais dont la traduction est facturée au caractère source ou au mot cible.

      Le tarif au mot varie non seulement d’une langue à une autre (le hongrois est plus cher que l’anglais par exemple, dans un sens comme dans l’autre), mais d’une combinaison à une autre (une traduction anglais > français sera facturée légèrement plus cher que dans le sens français > anglais, sachant que le nombre de mots cibles sera, dans ce sens, sensiblement supérieur au nombre de mots sources).

      Il varie de même d’un type de document à un autre, à la fois en fonction du format des fichiers (les PowerPoint sont plus astreignants à traiter que les document Word par exemple, donc facturés plus cher) et de la technicité des contenus (l’adaptation d’une affiche publicitaire est plus subtile, donc plus onéreuse que la traduction d’une documentation commerciale standard, de même que la traduction d’un protocole scientifique est plus pointue donc plus coûteuse que celle de documents administratifs ou commerciaux « courants »).

      Sauf cas exceptionnels générant une majoration, en deçà de 450 mots, le tarif minimum (correspondant à 1 heure de travail) est appliqué.

      Enfin, il est évident mais important de rappeler que tous nos traducteurs s’engagent à respecter le même code d’éthique que les interprètes en ce qui concerne la confidentialité et sont tenus au secret professionnel total et absolu pour tout document classé confidentiel ; ils s’engagent à ne diffuser aucun document destiné à être rendu public avant qu’il ne le soit par notre client lui-même.

      InterLingua Events dispose d’un compte Dropbox pour le partage de fichiers avec ses clients, chaque client bénéficiant d’un espace privatif et confidentiel. Les documents à traduire et les documents traduits peuvent être transmis par mail jusqu’à 10 Mo, ou déposés dans le dossier dédié sur Dropbox quel qu’en soit le poids.

      La mise en page conforme à l’originale fait l’objet d’une surfacturation dans le cas d’un travail à réaliser à partir de documents pdf ou de documents inscriptibles contenant des textes incrustés dans des images à retravailler, ou des tables, graphes, schémas, diagrammes, logigrammes dont la taille des cellules/symboles est à adapter au volume de texte contenu, variant de la langue source à la langue cible.

      Idem dans le cas de fichiers .html lorsqu’une intervention (en collaboration avec le webmaster du site concerné) est nécessaire en amont et en aval de la traduction, pour extraire les contenus existants afin qu’ils soient traités, et intégrer ensuite la 2e version du site.

  • L’interprétation en langue des signes
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      On ne s’improvise pas davantage interprète de conférence en langue des signes qu’en langues vocales. Entre autres établissements, l’ESIT, Ecole Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs de l’université Paris 3 La Sorbonne Nouvelle, propose une formation à l’interprétation en langue des signes française de niveau master 2, soit bac +5, qui peut aller jusqu’au doctorat de traductologie.

      A la seule différence qu’ils pratiquent pour leur part des tarifs à la demi-journée, les conditions d’intervention des interprètes de conférence en langue des signes sont les mêmes que celles des interprètes en langues vocales, à savoir : en binôme, se relayant toutes les 15 à 30 mn, leur travail demandant une concentration tout aussi soutenue que celle des autres interprètes, voire davantage.

      Ils interviennent parfois mais rarement en cabine ; ils sont alors filmés et vidéo-projetés dans la salle. Dans ce cas, il faut un retour son d’excellente qualité et un bon retour image pour qu’ils puissent voir quel interlocuteur s’exprime.

      De fait, les interprètes en langue des signes interviennent presque toujours sur scène, près du conférencier, face au public, de façon à être vus par les malentendants dans la salle ; si c’est l’intervenant qui est sourd, l’interprète actif devra lui faire face et disposer d’un micro pour interpréter ses propos à l’attention du public ; il devra lui faire face également lors d’un dialogue questions / réponses avec la salle. Dans le cadre d’une table-ronde à laquelle prennent part entendants et sourds, l’interprète se place près des personnes entendantes de façon à être vu par la ou les personne(s) sourdes qui sera (seront) installée(s) en face d’eux.

      S’il arrive parfois, quand il n’est pas possible de mettre en place une cabine supplémentaire, que des interprètes en langues vocales rares interviennent ponctuellement sur scène, ceux-ci restent généralement dans l’ombre et en retrait de l’orateur. En revanche, pour que l’interprétation en langues des signes se déroule dans de bonnes conditions, il faut veiller, non seulement à la qualité d’arrivée du son aux oreilles de l’interprète (toute nuisance sonore pouvant mettre en péril sa concentration s’il doit faire un effort d’écoute particulièrement tendu), mais aussi à l’éclairage qui, dans ce cas, est crucial pour permettre une bonne communication. L’interprète actif ainsi que chaque locuteur doivent être correctement éclairés. Un retour vidéo sur écran géant est un plus pour le public.

      Enfin, il est important de rappeler que la langue des signes n’est pas internationale. Chaque pays, chaque culture plus que chaque langue, a ses propres signes liés à l’historique du développement de ce moyen de communication sur son territoire. La langue des signes américaine (ASL), par exemple, est plus proche de la langue des signes française (LSF) que de la langue des signes britannique (BSL), dont la structure est tout à fait différente.

  • Offre de matériels et ressources techniques spécifiques à l’interprétation
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      Une cabine double pour interprètes, à la norme ISO 4043 AIIC CEE, (160 x 160 x 200 cm) est généralement équipée de la façon suivante :
      • 2 pupitres interprètes avec casques et micros
      • 2 à 4 radiateurs infrarouges numériques 10 W, 12.5 W ou 15 W en fonction des besoins, avec pieds
      • 1 régie de traduction multicanaux analogique ou numérique + 1 émetteur infrarouge par canal et raccordement à la sonorisation de la salle
      • + le nombre de récepteurs IR et casques stéréo correspondant au nombre de participants.

      Le système « bidule »,  également connu sous l’appellation « valise visite guidée » ou « guide tour »,  conçu et recommandé pour des prestations en itinérance, est un dispositif ultraléger entièrement autonome. Sans aucun raccordement, il autorise la libre mobilité et, dans la limite de réunions de travail en petit ou moyen comité ou de conférences auxquelles n’assistent qu’un petit nombre de non-locuteurs de la langue des conférenciers, permet l’intervention des interprètes en simultané tout en réduisant les coûts par rapport à la mise en place des équipements ISO préconisés dans le cadre de colloques ou séminaires de plus grande envergure internationale. (Ce dispositif évite en effet le montage/démontage d’une cabine, ne nécessite pas l’installation d’une régie spécifique et dispense de l’assistance d’un technicien sur site). C’est aussi une option alternative dans une salle de conférence dont la configuration ou les conditions d’accès interdisent l’installation d’une cabine ISO.

      L’inconvénient majeur de l’option bidule par rapport aux cabines mobiles en configuration conférence tient à ce qu’il ne permet pas d’isolation phonique entre les interprètes et la salle. Le risque de déranger les plus proches voisins peut néanmoins être minimisé :
      Les interprètes se tiennent en retrait du public à l’arrière de la salle et parlent dans le micro dédié sans avoir besoin d’élever la voix, ce qui réduit les risques de perturbation pour les personnes assises au dernier rang.

      A la réciproque, de façon à optimiser leur écoute et éviter la gêne potentielle causée par les bruits ambiants, il est important, non seulement que la salle soit parfaitement sonorisée, mais que les interprètes puissent recevoir le canal orateur au casque par l’intermédiaire d’un récepteur et d’un mini émetteur connecté sur la sono.

      Dans le cas de réunions de travail en petit comité, cette option permet :
      • de gagner un temps précieux et d’optimiser ainsi les échanges (en mode consécutif, le temps nécessaire aux interventions se trouve de fait multiplié par 2, ou bien, dans un laps de temps égal, les contenus échangés sont réduits de moitié),
      • d’éviter aux orateurs de devoir s’interrompre par intervalle pour laisser à l’interprète le temps d’intervenir à son tour (confort des différents intervenants),
      • de rendre les échanges plus fluides, avec une réactivité spontanée (et non pas en décalé),
      • d’éviter les « incidents diplomatiques » de type bavardages intempestifs en attendant l’intervention de l’interprète pendant qu’un participant s’exprime dans l’autre langue.
      Elle autorise aussi la mobilité :
      • visites de sites par exemple.

      La cabine de table est une solution intermédiaire entre la cabine ISO et le système bidule.
      Elle procure une isolation acoustique que ne permet pas ce dernier, tout en présentant l’avantage d’occuper un espace réduit (130 x 50 cm), posée sur une table standard. Ce type de cabine peut donc être installé dans des salles qui, faute d’espace ou pour des raisons d’accessibilité, ne permettent pas la mise en place de cabines ISO.
      Les cabines de table sont équipées de la même manière que les cabines ISO, avec une régie et un raccordement à la sonorisation de la salle.
      Elles peuvent aussi fonctionner en autonomie avec un dispositif bidule, ou si l’on équipe la salle de micros conférence numériques permettant non seulement aux participants d’écouter les autres interventions au casque dans la langue de leur choix mais également de prendre la parole.

      Un micro conférence de dernière génération est prévu pour 2 participants, chaque micro conférence permettant de connecter et contrôler indépendamment 2 casques avec affichage individuel des sélections (canal et volume) de chacun. Cette solution est particulièrement adaptée dans une salle de réunion configurée en O ou en U pour une séance de travail ou un débat en table ronde

      Nous complétons notre offre avec la possibilité de fournir des colliers magnétiques (boucles inductives) permettant aux personnes malentendantes équipées de prothèses auditives de suivre la conférence dans la langue de leur choix.

      Nos devis comprennent l’assurance du matériel (bris accidentel, incendie, explosion, dégât des eaux, à l’exclusion de tout autre dommage, au taux de 9.5% à 5.5% selon le montant de la location) avec généralement une franchise de 10 % TTC du montant du sinistre le cas échéant.

      La gestion des récepteurs et casques reste toutefois sous la responsabilité de l’organisateur. En cas de perte ou de détérioration, l’unité lui sera facturée au prix du remplacement à neuf (boiter numérique + casque stéréo). Dans ce contexte, il est important pour nos clients de prévoir en interne une équipe en charge de la distribution/récupération des casques et récepteurs.

      S’ils le souhaitent, nous pouvons leur proposer en option la mise en place de personnel d’accueil bi-ou tri-lingue polyvalent pour assurer :
      – la remise des badges et éventuels packs de bienvenue (documentation, goodies, etc.) à l’arrivée des participants,
      – la distribution/récupération des casques audio,
      – le passage des micros en salle lors des temps d’échanges interactifs,
      – l’orientation sur site au moment des pauses.
      Leur uniforme peut-être accessoirisé aux couleurs de l’entreprise / association / institution.

      Nos devis font indépendamment apparaître :
      • le coût de l’installation du matériel (généralement la veille), la mise en service, et le démontage (à l’issue de la conférence), transport compris
      • le coût de l’assistance technique pendant toute la durée des conférences. (Nous déconseillons de considérer l’assistance technique comme une simple option et tendons à l’imposer pour éviter tout risque de dysfonctionnement).

      InterLingua Events possède en propre 2 micros main et une mallette de charge de 12 récepteurs multicanaux avec mono-oreillette extra-auriculaire, une option non seulement beaucoup plus confortable que des récepteurs de type ‘stéthoscopes’, mais qui permet aux personnes équipées de garder le contact avec la langue source de l’oreille libre tout en suivant très distinctement la traduction qui leur parvient en dominante dans l’oreille appareillée. Cette solution offre un avantage important car elle évite l’isolement des personnes équipées et favorise le sentiment d’appartenance au groupe de travail.

      Pour répondre aux besoins de nos clients, nous avons des partenaires privilégiés dans toutes les régions de France et hors de nos frontières, en Europe et dans le monde, ce qui nous permet de limiter les frais de transport du matériel et de déplacement des techniciens dans le cas d’installation d’équipements lourds (cabines complètes avec régie, etc.).

      Dans le cas d’une mise à disposition de matériel ultraléger (bidule) sur le territoire français, les équipements nécessaires peuvent être acheminés par transporteur ou Chronopost, directement sur le lieu de l’intervention.