À l’occasion de la saint Jérôme (patron des traducteurs), Khaled Osman, traducteur littéraire arabe>français, rediffusait hier ce texte qu’il avait fait paraître dans la revue TransLittérature.
« C’est à lire avec le sourire, mais un sourire qui ne doit pas cacher la gravité de la situation, entre non-reconnaissance de notre travail et ambition de nous remplacer par des machines qui produisent en un temps record des traductions… totalement dépourvues de créativité et d’intelligence (contrairement à ce que leur nom suggère, rien de plus stupidement statistique que leur travail de compilation). »